3 155 mandataires
chez Proprietes-privées.com en France Données Proimmo, actualisé il y a 9 minutes

En septembre + 0,00 %

Sur 2 mois - 0,8 %

Sur 1 an - 1,7 %

Mandataire immobilier › Réseaux

Proprietes-privées.com

Evolution du nombre de mandataires Proprietes-privées.com

Proprietes-privées.com face aux réseaux concurrents

Comparez Proprietes-privées.com face à ses concurrents les plus directs et aux réseaux de même taille.

2^e / 91 réseaux

SAFTI

5861 mandataires

+ 86 %

+ 2 706 mandataires

3^e / 91 réseaux

BSK Immobilier

4506 mandataires

+ 43 %

+ 1 351 mandataires

4^e / 91 réseaux

Proprietes-privées.com

3155 mandataires

5^e / 91 réseaux

Capifrance

2674 mandataires

- 15 %

- 481 mandataires

6^e / 91 réseaux

Efficity

2033 mandataires

- 36 %

- 1 122 mandataires

Quatrième réseau français avec 3 152 mandataires en septembre 2025, Proprietes-privees.com se situe toujours entre le trio de tête et le peloton.

L’écart avec BSK (4 513 agents) atteint désormais 1 361 conseillers ; l’enseigne affiche ainsi une force commerciale inférieure de 43 %. Côté poursuivants, Capifrance n’est plus qu’à 504 unités, soit un différentiel ramené sous les 20 %. La marge demeure confortable face à Efficity : 1 139 mandataires d’avance, l’équivalent d’une taille 1,6 fois supérieure.

Sur douze mois, le réseau cède 58 mandataires (-1,8 %). Le reflux mensuel s’amenuise : ‑2,5 % au printemps, ‑0,5 % en août, stabilité en septembre. Cette décrue, encore modérée, fige le classement mais laisse SAFTI et surtout BSK accroître leur avantage quantitatif tandis que Capifrance se rapproche lentement.

En juillet 2025, Propriétés-Privées.com compte 3 178 mandataires, en retrait de 0,4 % sur un mois. Ce fléchissement reste plus contenu que la tendance nationale (-0,7 %) et que celle de réseaux comme SAFTI (-1,0 %) ou Capifrance (-1,2 %), alors qu’IAD poursuit au contraire sa croissance (+3,2 %). Au plan régional, l’Occitanie (+0,8 %) et l’Auvergne-Rhône-Alpes (+0,3 %) montrent une légère embellie tandis que la Bourgogne-Franche-Comté (-2,3 %) et le Centre-Val de Loire (-1,9 %) accusent les plus fortes décroissances. En Île-de-France, la position reste stable, à –0,3 %, alors que la Normandie ne bouge pas. Sur les trois derniers mois, le réseau affiche un recul global de 0,7 %, révélant des dynamiques locales très contrastées.